L'Union des
industries chimiques a déclaré que le droit d'opposition exercé par
les quatre syndicats non signataires de l'accord sur les
35 heures conclu dans la branche était "inopérant" et
a demandé au ministère de l'Emploi l'extension du
texte.
L'accord sur les 35 heures dans la chimie avait été paraphé le
8 février dernier par la seule CFDT et le 16 février, les
quatre syndicats non signataires, (CGT, FO, CFTC et CFE-CGC),
avaient fait part à l'UIC de leur opposition à cet accord
(Chimie hebdo n°37, p.3). En réponse, l'UIC a fait savoir
à ces quatre syndicats "que l'accord du 8 février 1999 ne
constituant pas un avenant modificatif de la convention collective
nationale des industries chimiques", l'opposition notifiée
"se trouve dès lors inopérante".
L'UIC est désormais dans l'attente de l'arrêté d'extension
demandé auprès du ministère de l'Emploi et de la solidarité qui
permettra aux 3000 entreprises et 230000 salariés de la
branche " de disposer d'un accord cadre pour la mise en
?uvre de la loi sur les 35 heures ", conclut la fédération
patronale. n
35 heures/L'opposition des syndicats non signataires "inopérante" selon l'UIC
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